L’idylle
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La maison natale de Victor, dénommée L’Idylle, est située au milieu du clos de la propriété familiale, à Cruet (hameau de Saint-Laurent), dans une combe des Bauges, entre Chambéry et Saint-Pierre d’Albigny.
Elle a été édifiée en 1840 par François Tiollier (1800-1890), époux de Caroline Dubettier.
N’ayant pas d’enfants, il légua la propriété à celui de ses neveux qui en avait le plus, à savoir Hyacinthe.
Ce dernier la transmit à son fils Albert, le père de Victor.
Albert exploita le domaine (vignes, terres cultivables et prairies) jusqu’à sa mort, en 1966. Puis ce fut son fils André, décédé en 2003.
Deux fils d’André, Philippe et François, exploitent actuellement le domaine viticole, sous le nom de « Domaine de l’Idylle ».
Le journal de Victor Tiollier (1921-1945), écrit en captivité, à Neckarelz, est un des rares documents de ce genre qui soient sortis de camps de déportation. Ce site le publie intégralement, et situe Victor dans sa famille et dans l’environnement où il a vécu les derniers mois de sa courte vie (24 ans).
Sur le site
Autres liens
- Centre d’Histoire de la Résistance et de la Déportation
- Neckarelz
- Struthof, l’ancien camp de concentration de Natzweiler en Alsace
- Dossier du concours national de la Résistance et de la Déportation 2012
Une partie de ce dossier est consacrée à Victor Tiollier. On peut voir plusieurs photos de son journal